Projets réalisés

avec l'appui financier de Innovation for Change (I4C). Ce projet de 6 mois réalisé en 2018 avait comme objectif de mobiliser la jeunesse congolaise autour des enjeux électoraux. ceci dit, ces activités s'inscrivaient dans un schéma de conscientisation des jeunes afin de leur faire comprendre qu'il est grand temps d'éviter de continuer à être des tambourineurs et danseurs des hommes politiques qui les ont longtemps clochardisés, des porteurs de leurs drapeaux et leurs danseurs à longeur de journées. Bref, éviter de se faire manipuler mais par contre s'engager aussi activement en politique afin d'être des candidats au scrutin de 2018 voire de devenir des mandataires dans toutes les institutions de la République. Pour atteindre cette jeunesse, PPI s'est approprié différents canaux qu'ils utilisent généralement en particulier les réseaux sociaux, qui ont servis d'un canal par excellence pour plusieurs activités en dehors des conférences et émissions radio.

avec l'appui financier de CIVICUS, en 2019 alors que la RDC venait fraichement d'organiser les élections à différents niveaux, il a été constaté que l'espace civique qui était déjà restreint depuis la période entre 2015 et 2018 par le président JKK, dans ses tentatives de vouloir opérer un forcing pour s'éterniser au pouvoir au délà de ses deux mandats constitionneles est resté fermé au point que les ressemblements, les réunions publiques et autres maniferstations demeuraient régulièremeent reprimés par le pouvoir public. Cela a conduit alors PPI à mettre en place le projet OEC afin d'apporter sa contributiondans la consilidation de la démocratie en RDC en plaidant pour la cessation des violations à l'égard des activistes pro-democratie de DDH, journalistes et acteurs de la société civile qui étaient plus visés.

Les conflits récurents ont opposé les peuples autochtones pygmées et les gardes parc comis à la protection du PNKB pendant la période allant de 2019 à 2022. Cette situation a poussé PPI à travailler dur pour la recherche d'une solution durable à ces confilits qui devenaient de plus en plus violents avec risque de se transporter de la foret de Kahuzi vers les villages avoisinants, entendu que les gardes parc et les pygmés qui s'affrontent dans le parc vivent tous dans les mêmes villages au point qu'après les combats dans la foret ils retournent encore tous au village se regardant en chiens de faillance. Ainsi, PPI a proposé une feuille de route pour resoudre ce conflit après avoir recontré le ministre provincial de l'environnement du Sud-Kivu mais également saisi le ministre national de l'environnement à ce sujet. La même situation s'est observée dans plusieurs territoires de la province du tanganyika particulierement celui de Nyunzu, Manono, Moba, Kongolo et Kalemie territoire où les peuples autochtones pygmés n'ont cessé de s'affronter avec les bantous. PPI a également joué un role très imporatnt dans la résolution et/ou la transformation de ce conflit.

Ayant constaté qu'il y a de l'exploitation inedite des personnes dans plusieurs secteurs de la vie en RDC, PPI a organisé des actions de plaidoyer auprès des autorités afin que certains milieux qui se caractérisaient de plus en plus par ces genres d'activités soient mis sous surveillance et les auteurs subir la rigeure de la loi.Il en est de même pour les personnes civiles non-armées et autres vulnérables telles que les femmes, enfants et personnes vivant avec handicap qui n'ont pas échappé à la vigilance de PPI afin de les voir être mises à l'abri des persécutions.

ce projet avait pour but de documenter les cas des violations à l'égard des journalistes et médias dans l'exercice de leur travail pendant la période difficile de covid 19 qu'a connu la RDC.